Considérant l’acharnement que les écrivains investissent bien souvent dans la sempiternelle réécriture leurs textes, il me semblerait à propos de troquer cette dénomination pour celle de «réécrivains».
Considérant l’acharnement que les écrivains investissent bien souvent dans la sempiternelle réécriture leurs textes, il me semblerait à propos de troquer cette dénomination pour celle de «réécrivains».